En 2014, il est le premier président tunisien élu au suffrage universel. Béji Caïd Essebsi devient alors le symbole de la démocratie naissante dans le pays d’Afrique du Nord. Trois années auparavant, la Tunisie est le premier pays à lancer le printemps arabe. À l’époque, les manifestants demandent le départ du président Ben Ali : “Dégage” est leur slogan.”L’ancien, le nouveau, le présent et le futur, c’est toujours la Tunisie”Béji Caïd Essebsi ne soutient pas ouvertement cette révolution, mais ce vétéran de la politique à su prendre à temps ses distances avec l’autocrate Ben Ali. À ceux qui disaient que c’était l’ancien régime qui revenait avec lui, Béji Caïd Essebsi répondait devant les caméras de France Télévisions, en 2014 : “Ils peuvent dire ce qu’ils veulent. Il faut regarder l’avenir. L’ancien, le nouveau, le présent et le futur, c’est toujours la Tunisie.” Le JT
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JT de 20h du jeudi 25 juillet 2019 L’intégrale
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